A Brazzaville, un colonel voit son sexe se transformer en troisième pied !
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Keba na trois pieds |
La
course aux petites filles, va continuer à faire des ravages, pendant encore longtemps,
dans les rangs de nos aînés, au Congo. De nos jours, les hommes censés
avoir fait leur vie, et qui devaient se préparer à passer la main à la
génération suivante, sombrent chaque jour un peu plus, dans la volupté et les
excès en tous genres.
Le
colonel M. de la police nationale, travaille depuis 25 ans, à la Direction des
renseignements extérieurs. Père de 19 enfants, nés de plusieurs lits, il dit
l’avoir fait, pour augmenter ses revenus, en ayant droit au versement par l'Etat congolais, d'allocations familiales conséquentes.
Le
colonel M., fait partie des congolais, qui mariés, ne se privent pas, de mettre
au monde des enfants illégitimes, avec la bonne, la fille du voisin. Et de
temps en temps, de débaucher la femme d’un subalterne.
Ce
genre d’hommes, on en compte aujourd’hui par milliers chez nous. Ils mangent, dorment et se réveillent qu’avec le sexe comme centre d'intérêt principal. Dans les administrations congolaises, où
les Ngandas côtoient les bureaux, les hommes et femmes mariés, passent le plus
clair de leur temps, à élaborer plus les plans cul, qu’à travailler et à
réfléchir, au développement du Congo.
Le
colonel M., en plus de ses 19 enfants, a plusieurs maîtresses. Ce dimanche de
février 2008, il se rend avec les amis après le foot, au quartier Diata, manger
le NGULU MU MAKO, l’un des rares héritages que l’ancien Président de la République , a légué au
pays.
Ce
plat, fait de viande de porc et de bananes plantains, a fini au fil des années,
à devenir dans notre pays, un véritable repas national. Le colonel M, aimait
bien en manger, sous sa forme braisée, avec un zeste de petit piment rouge parfumé.
Le
quartier Diata, en même temps que le NGULU MU MAKO prenait ses galons au niveau
national, a fini par devenir, le haut lieu de la cuisson de ce plat succulent.
Ceci
en raison, des spécialistes dans la préparation de ce festin, venus droit de
Mouyondzi, dans la région de la
Bouenza , dans le sud-ouest du pays, qui y déploient, tous les
dimanches, leur art culinaire, vieux de plus de 100 ans.
Le
quartier Diata, est le temps d’un dimanche, le lieu de rencontre, des enfants
originaires du nord et du sud Congo. Un véritable exemple d’unité nationale,
dont devaient s’inspirer, certains quartiers mono-ethniques, que compte la
ville-capitale.
Lieu
d’unité nationale, et lieu de rencontre, entre les hommes et les femmes. Le
Colonel M, aimait bien les rencontres entre amis, le dimanche après le match
des seniors au stade annexe au quartier Diata, pour se faire de nouvelles
rencontres, dans ce même périmètre, dans l’atmosphère enfumant, du porc
braisé, au petit piment rouge parfumé.
Ainsi,
ce dimanche là, le Colonel M, a fait la connaissance d’Agnès, 21 ans, serveuse
dans un des multiples Ngandas, que compte le quartier Diata. Kaka
Mbongo ya ngué, avait-elle lancé, quelques minutes plus tôt, au Colonel,
lorsqu’il avait entrepris de l’aborder. Comprenez, je me laisse acheter par le
plus offrant.
Le
Colonel et ses amis, avaient acheté des casiers de bière, qui pouvaient
relancer la navigation sur le fleuve Congo, en période d’étiage. Ils ont bu ce
jour là, à satiété, et les plats de NGULU MU MAKO commandés, étaient
dignes de la ration journalière, de deux sections de 70 policiers.
Epuisé
après cette consommation excessive de bière et de nourriture, le Colonel M., a
vu sa libido se réveiller et chercher sa satisfaction, dans le corps chaud et jeune d’Agnès.
Question
directe du Colonel M. à Agnès : j’ai besoin de toi maintenant. Mbongo
na Moboko, Matakou na Foulou (l’argent à la main, les fesses au lit), réponds
Agnès au Colonel M. qui lui glisse aussitôt, quelques billets de banque.
Le
temps que la serveuse se libère de ses tâches, la voilà qui se retire avec le
Colonel M., dans une maison inachevée qui se trouvait à quelques encablures de son lieu de travail, pour poser un acte sexuel des plus
exotiques, dans un environnement bio, au quartier Diata.
Cinq
minutes après, le Colonel M., a pu se « libérer » de ce qui le gênait
dans son pantalon, et a regagné juste après sa maison, comme si de rien
n’était.
En
mission à Nkayi, dans la région de la Bouenza , le lendemain, le Colonel M., a des
brûlures au niveau du phallus. Il a pu gérer la situation avec des
antibiotiques achetés aux Bana Manganga (vendeurs ambulants de
produits pharmaceutiques contrefaits).
Rentré
le soir à l’hôtel, les brûlures ressenties au sexe, amènent le Colonel M., à se
rendre à l’hôpital. Arrivé sur place, le médecin ne s’explique pas
scientifiquement, ce dont souffre son patient. Avec des calmants, il lui
demande de regagner son hôtel, et de voir la question, une fois de retour à
Brazzaville.
Mais
la nuit sera longue pour le Colonel M. Après les brûlures, il voit comment son
sexe se transforme, pour finir par avoir la même taille, que ses deux pieds, au bout de quelques heures.
Pris
de panique, il appelle à l’aide le réceptionniste de nuit. Effondrer par ce
qu’il découvrait, celui-ci alerte à son tour les gardiens de nuit, qui décident
de l’amener voir un guérisseur, car un phallus d’éléphant, trainé par un homme,
relève plus de la médecine traditionnelle, que de la médecine moderne.
C’est
au bout de 30 minutes de marche, que le Colonel M., avec son troisième pied,
accompagné de ses « bienfaiteurs », arrivent au domicile de papa
Kombo, grand guérisseur devant l’Eternel à Nkayi.
Papa
Kombo, en analysant la situation du Colonel M., a conclu à une infestation
maléfique, contractée lors de ses ébats avec Agnès, dans la maison inachevée de
Diata. Cette maison était hantée.
Après
un internement de 3 mois, au domicile de papa Kombo à Nkayi, le Colonel M., a
été guéri de son phallus d’éléphant, et a mis une croix, définitivement, sur sa
vie sale d'antan.
Poursuivons
les échanges sur elvisjunior73@gmail.com
Elvis
NGATSE
Tel est pris qui croyait prendre,etaya biso.
RépondreSupprimerPrince de B