A Pokola, une fille tombe enceinte d’un mari de nuit!
Pokola,
petite cité industrielle de la
Sangha , au nord de la République du Congo, est située à 45 kilomètres de
Ouesso, le chef-lieu de ce département.
Erigée
il y a quelques années en commune urbaine, Pokola compte aujourd’hui, plus de
20.000 habitants, et doit son existence à la société forestière CIB.
Dans
les années soixante en effet, cette société avait obtenu du Gouvernement congolais, un
permis d’exploitation forestière dans cette zone. A l’époque, Pokola n’existait
que de nom, et était recouverte par la forêt dense équatoriale, riche en
essences forestières.
Aucune présence humaine n’y était détectée, en dehors de quelques pygmées de passage, qui y avaient fixés quelques cabanes, dans leur marche éternelle de changements périodiques
de domicile.
La
crise économique mondiale en cours, a vu les actifs de cette société chutés, et
elle a été rachetée depuis, par le groupe singapourien OLAM.
Nessa,
originaire de la ville de Ouesso, se rendait le 30 de chaque mois à Pokola, en compagnie d’autres filles de sa
localité, pour s’adonner aux relations sexuelles
tarifées, avec les travailleurs de la
CIB.
Ce
phénomène était tellement important à Pokola, que les filles de joie avaient
fini par avoir un petit nom dans cette contrée. On les appelait « Mayanga paye ». Une
façon de dire qu’elles ne se rendaient dans cette cité industrielle qu’à la fin
du mois, afin de monnayer leurs charmes au prix fort.
Nessa
a mené cette vie pendant plusieurs années. Souvent, elle faisait plusieurs
« passes » par jour, avec plusieurs clients. Ses formes avenantes,
intéressaient plus d’un travailleur de la CIB.
Cette
activité vieille comme le monde, lui avait permis au fil du temps, d’avoir de
solides économies, et partant, de se lancer avec l’ouverture du grand marché de
Pokola, dans le commerce de détails de produits alimentaires.
Son
commerce qui marchait à merveille, lui a permis de passer progressivement à
autre chose, ne se livrant qu’à temps partiel désormais à la prostitution.
D’ailleurs, seuls les clients qui payaient une sacrée somme d’argent, pouvaient
prétendre obtenir ses faveurs. Elle a fini par avoir une maison en planches à
Pokola, et avec le temps, à l’équiper et à prendre ses marques dans cette
ville.
Jusqu’au
jour où Basile, contremaître à la
CIB , a gagné son cœur et a décidé de faire d’elle sa petite
amie. Basile était un homme d’un certain âge.
Il
habitait la cité ouvrière. Souvent le soir après le boulot, il se rendait chez
Nessa manger, prendre une bière avec elle à l’Auberge de la cité, et se livrer
en sa compagnie aux jeux interdits.
La
famille de Basile était installée à Brazzaville, la Capitale du Congo. Comme
c’était le cas, pour plus de 50% des travailleurs qui évoluaient à la CIB.
A
une année de la retraite, Basile qui avait investi dans l’immobilier, était
presque certain de profiter à fond de ses derniers jours sur terre. Tout ce
qui lui restait à faire était de transmettre son savoir-faire aux jeunes
générations et de s’autoriser quelques plaisirs de la chair.
Pour
cela, Nessa était plutôt un bon choix. Ancienne prostituée, elle savait comment
prendre un homme au lit et lui donner le vertige, par le jeu des positions que sa vieille femme restée à Brazzaville, ne pouvait développer.
Il
en payait le prix fort. Jusqu’à 150.000 FCFA en plus de la prise en charge de
la location de sa maison, et de la popote versée pour lui permettre de déguster
tous les soirs, l’antilope rouge de la vaste forêt de la Sangha.
Six
mois avant de faire valoir ses droits à la retraite, Basile comme tous les
soirs, se rend au domicile de Nessa. Arrivé sur place, il trouve la maison fermée.
Peu
inquiet, il se renseigne auprès du voisin de sa dulcinée, qui lui apprend
qu’elle n’est pas encore rentrée du marché depuis le matin. Le domicile de
Nessa se trouvant non loin de là, Basile décide de s’y rendre pour voir si elle
y était toujours.
Quand
à 5 minutes du marché, il aperçoit Nessa dans un bar, en compagnie d’un jeune
homme en train de boire la bière. Sans trouble au cœur ni au visage, il se
rapproche de son amour et lui fait remarquer qu’il vient de chez elle.
En
faisant remarquer à Basile que le savoir-vivre n’est pas fait pour les
chiens, Nessa n’a pas apprécié le fait qu’il n’a pas salué la personne qui l'accompagne.
Et
de poursuivre en lui disant, qu’il était trop vieux pour elle. Désormais, c’est
avec Jean-Paul dit JP, l’enseignant qui vient de Brazzaville, qu’elle a décidé
de continuer sa vie. D’ailleurs, cette nuit même, ce dernier qui venait d’arriver
à Pokola, allait s’installer avec elle.
Un
coup de poignard dans le dos de Basile. Le sang du pauvre vieux n’a fait qu’un
tour en lui, et a failli lui jeter à la renverse. S’étant ressaisi, il a fait
l’effort de regagner la cité ouvrière.
J-P
s’est installé avec Nessa et la vie pour les deux tourtereaux se passait très
bien. Basile a été classé dans les oubliettes de l’histoire très riche de la
vie amoureuse de Nessa, et avait disparu des écrans radar à Pokola.
Six
mois après cet incident, Basile a pris sa retraite à Brazzaville et n’arrivait
toujours pas à digérer depuis la
Capitale , sa séparation avec Nessa. Il n’avait jamais connu
une fille qui faisait aussi bien l’amour. Et la vieillesse du corps de sa femme
qui était plus âgée que lui, n’était pas de nature à arranger les choses.
Souvent
la nuit, il administrait des sévices à son corps en se projetant au lit avec
Nessa, et regardait impuissant, comment sa culotte se salissait du fruit de sa
semence, consécutive à la violence du mouvement de ses mains,
humidifiées par la
Palmolive.
Au
même moment, et chaque fois que Basile se projetait dans ce monde irréel, Nessa
vivait de son côté une vraie relation sexuelle avec ce dernier. Souvent au
réveil, sa foufoune était ensemencée d’un liquide blanchâtre, laiteux et
gluant.
Elle
n’arrivait pas à se l’expliquer, et pensait que son J-P lui prenait pendant son
sommeil. Ce que ce dernier rejetait avec force. Ne sachant que lui dire, Nessa
a observé le phénomène pendant des mois. Et chaque fois, il se renouvelait sans
cesse.
Ce
qui a eu pour conséquence, le dégoût de Nessa pour toute relation sexuelle
réelle. Fatigué de se voir amputé d’un si grand bien, son compagnon J-P au bout
de neuf mois, a profité des vacances scolaires pour regagner Brazzaville, et ne
reviendra plus à Pokola.
Pendant
ce temps, les plaisirs de nuit de Nessa ont continué à sévir. Et un jour, 5
mois après le départ de J-P, elle qui vivait un véritable sevrage sexuel depuis,
a observé que ses règles n’étaient plus à leur rendez-vous mensuel depuis 4
mois.
Son
ventre prenait la forme de celui d’une femme enceinte. Elle avait des nausées
et vomissait régulièrement. Sans s’inquiéter, elle croyait qu’elle avait des
vers intestinaux et ayant pris quelques vermifuges, sa situation ne
s’améliorait toujours pas. Ses malaises désormais duraient depuis six mois.
Ses
amis et connaissances, ne manquaient pas de lui présenter leurs félicitations
pour sa grossesse. Ce qui l’irritait grandement, tant la forme que son ventre
prenait indiquait à tout le monde qu’elle était enceinte.
C’est
dans ces conditions que Nessa, va décider de consulter un médecin. A l’hôpital
de base de Pokola, où elle s’est rendue, après les examens de routine, elle
apprendra du médecin-chef, qu’elle est enceinte de six mois.
Elle
en consommait tellement la nuit dans le monde irréel, qu’elle avait dans la
réalité perdue toute envie de faire l’amour, au pourtant là, elle était
enceinte.
Enceinte
de qui ? En tout cas, Nessa n’en croyait pas ses yeux et a demandé au
médecin de bien lire les résultats. Convaincu que les résultats étaient bons,
le médecin a rassuré Nessa au nom de son serment, qu’elle était bel et bien
enceinte.
Malgré
les explications qu’elle donnait, sur le fait que depuis plus d’une année, elle
n’a plus eu de rapports sexuels avec un homme, la conclusion du médecin était
sans appel.
Découragée
par cette annonce, Nessa ne baissera pas pour autant les bras. Elle va décider
de se rendre à Ouesso, la
Capitale départementale, pour consulter un gynéco afin d’être
fixée définitivement sur son état.
Nessa
ne le fera pas tout de suite. Elle avait un stock de produits à écouler et
certaines dispositions à prendre pour sa maison. Elle est restée encore à
Pokola entre malaises et actes sexuels de nuit pendant 1 mois et demi avant de
gagner Ouesso.
Là-bas,
la conclusion du médecin a été sans ambages. Nessa est enceinte de 7 mois et
demi. Choquée, elle n’a pu se remettre de cette annonce et a accouché de deux
petits garçons par césarienne, tant le choc était violent.
D’explications
en explications à sa famille, qui voulait connaître le père des jumeaux, elle
expliquera tout. Les investigations surnaturelles familiales, ont révélé que
Basile est le géniteur des jumeaux.
Poursuivons
les échanges sur elvisjunior73@gmail.com
Elvis
NGATSE
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