A Pointe-Noire, une femme surprend son homme faisant l’amour avec une folle





L'amour de l'argent est la source de tous les maux


Pointe-Noire, est la deuxième ville de la République du Congo, après Brazzaville la Capitale. Elle compte plus d’un million d’habitants, et elle est située au centre-ouest de l'Afrique, sur la façade atlantique.

La ville de Pointe-Noire, appelée aussi Njindji, est le débouché naturel qui fait du Congo, le principal pays de transit de l’Afrique Centrale, et représente pour ce pays, du fait de son activité pétrolière et son port en eau profonde, son poumon économique.

William est un chef d’entreprise pontégrin. Il travaille dans les prestations on-shore et off-shore. Ses affaires se développent normalement. Au fil des années, il a pu gagner la confiance de ses clients. En l’occurrence, les compagnies pétrolières.

Marié à Claire, et père de 3 enfants, William multiplie dans le cadre de ses affaires, les offres de prestation de services. La politique commerciale mise en œuvre par ses services, lui a permit d’accroître avec le temps, de nouveaux contrats.

Ce qui a fini par lui assurer dans la durée, de confortables revenus. Son train de vie quotidien s’en ressent. Investisseur avisé, il s’est lancé depuis dans l’immobilier, à travers une SCI, et compte pas moins de 10 villas à son actif dans la ville océane.

Amoureux de grosses cylindrées, William a un parc auto impressionnant. Souvent, il se rend à Dubai, aux Emirats Arabes Unis, pour faire les emplettes de bagnoles. Financièrement, William a réussi et est à l’abri du besoin.

Dans la société ponténégrine, il est respecté. Il est cité en haut lieu pour sa réussite, et sert de modèle,  aux plus jeunes à Njindji.

Le secteur pétrolier, est étroitement lié au pouvoir au Congo. Dans la Capitale politique Brazzaville, où se prennent les décisions majeures, une autorité importante décide un jour, de satisfaire un courtisan.

Ce dernier, entendait s’initier dans les affaires, en se lançant dans les secteurs d’activités où William, natif de la région de Pointe-Noire, excellait.

Ce courtisan va donc se rendre à Pointe-Noire, auprès des sociétés pétrolières, avec une recommandation de cette autorité politique. Le maître mot est : lui céder des marchés.

C’est dans ces conditions, que William sera informé, de ce que dans les mois qui vont suivre, il perdra la moitié de ses contrats, pour faire de la place à un nouveau venu de Brazzaville.

Pris de panique, à l’idée de perdre son pouvoir d’achat et de voir ses parts de marché s’effriter, William se lance dans une course folle, pour tenter de protéger ses acquis.

Multipliant les voyages à Brazzaville, où il tentera vainement de s’attirer les bonnes grâces de quelques autorités politiques, il rentre décourager à Pointe-Noire, faute d’avoir obtenu un quelconque soutien.

Informés, ses travailleurs se préparaient à une longue période de chômage et c’est ainsi que l’un deux, appelé Roger, va suggérer à son patron, de consulter un féticheur qui lui est familier.

Les deux feront cette démarche, et le féticheur de rassurer William que son problème sera résolu. Ses pratiques, allaient disait-il changer les idées du courtisan venu de Brazzaville. En le poussant à faire un autre choix, que celui de créer une société de gardiennage.

La seule condition à remplir, est de coucher six fois avec une folle. Difficile à accepter pour William. Très attaché à ses avantages financiers et matériels, il ne voyait toutefois pas comment procéder autrement.

Après quelques semaines de réflexion et à mesure que le courtisan de Brazzaville prenait ses marques, William finira par céder, et va opter pour la solution proposée par le féticheur.

Une course, contre la montre va s’engager. Et, il fallait repérer toutes les folles de Pointe-Noire. Ce travail d’identification, William le fera dans une de ses voitures avec son travailleur Roger.
Une fois les folles repérées, il fallait trouver la bonne heure. Et les deux ont conclu qu’il est nécessaire de passer à l’action après 22 heures, quand la ville dort, pour éviter les mauvaises surprises.

Le plan d’attaque arrêté, les deux repartent voir le féticheur et lui informent de l’imminence du lancement des opérations. Celui-ci, remet à William, une potion à appliquer autour du sexe de la folle avant de la pénétrer.

Afin disait-il, de retirer d’elle, l’esprit du découragement à l’origine de l’état des fous, qui devait agir sur le courtisan venu de Brazzaville et lui faire rebrousser chemin.

La potion dans sa poche, William et son travailleur lancent la première opération. Elle s’est déroulée avec succès. Malgré les odeurs, William a pu éjaculer et récupérer la capote humidifiée avec l’huile de la potion, qu’il avait appliquée avant les ébats autour du sexe de sa première victime.

Rentré chez lui, il était dégoûté. Toute la nuit, entre cauchemars et regrets, William n’a pu fermer l’œil. Resté à la maison, n’ayant pu se rendre au travail, il sera encouragé le lendemain par Roger qui est venu le voir.

Un adage dit que le cadavre ne peut empêcher sa décomposition. Face à cette vérité, Roger a fait comprendre à son patron, qu’il devait le faire s’il souhaitait conserver son niveau de vie. Après tout, il avait déjà commencé. Et il n’y a pas un sans deux et ainsi de suite.

Quelques jours après, la deuxième opération a lieu. Avec l’habitude, une troisième puis une quatrième se lanceront rapidement. Sans intervalle de jours. Ce qui commençait à inquiéter la femme de William.

En effet, William rentre à la maison de tout temps avant 17 heures, et n’y ressort que le lendemain. Depuis 3 jours, il ressortait en compagnie de Roger après 21 heures et de retour à la maison après minuit, au moment où toute la maison dormait, il prenait une douche avant de se coucher.

La femme de William était surprise par ailleurs, de la nouvelle amitié de son homme avec son travailleur Roger. Elle soupçonnait désormais son homme d’infidélité.
Elle estimait que Roger était à la manœuvre, et était persuadé que c’est lui qui avait présenté une femme à son homme. Voilà qui pouvait expliquer selon elle, qu’il venait de nuit chercher son homme et l’amener dehors.

Au cinquième jour de l’opération, Claire en a eu marre et a décidé de fliquer son mari une fois que celui-ci a quitté la maison. A bord de sa voiture, elle a décidé de faire les hôtels du centre-ville et des environs pour voir si son mari s’y trouvait.

Après plus de 4 heures de tours infructueux, Claire décide de rentrer au quartier Tchimbamba où la famille était établie. Venant du centre-ville, lorsqu’elle arrive à hauteur du passage à niveau dit 225, elle aperçoit à sa droite dans le noir, ce qui paraissait être la Toyota Prado de son mari.

De couleur unique à Pointe-Noire, jaune cubain, ce 4X4 ne pouvait passer inaperçu. Cependant, Claire avait un doute. Mais sa jalousie était telle qu’elle s’est décidée de se rapprocher de cette voiture pour mieux l’identifier.

Elle clignote donc à droite, et se dirige vers cette voiture. Il était une heure du matin. Au loin, et roulant en phare, elle aperçoit les gens qui font l’amour sur le capot de la voiture.

Pris de panique par les phares de la voiture, l’homme quitte sa baiseuse et se retire dans la voiture. Bizarrement, en se rapprochant, Claire entend la dame crier et maudire le monsieur.
Et une fois sur place, Claire se rend compte qu’il s’agit bel et bien de la voiture de son mari. Et l’homme qui était en action sexuelle, est son mari.
Elle a failli s’évanouir, et s’est reprise une fois descendue de sa voiture et là, surprise des surprises, la femme avec qui son mari faisait l’amour est une folle.

La folle était dans tous ses états. Elle criait et traitait William de malade mental. Elle ne comprenait pas pourquoi toutes les nuits, il venait profiter d’elle sans penser à l’épouser. Elle regrettait que le plaisir de William arrive plus vite, ne lui laissant pas le temps de jouir.

Et tout cela était débité devant Claire. Honteux et confus, ne pouvant avancer un seul mot, William est resté dans la voiture, au moment où Roger ayant vu descendre de la voiture la femme de ce dernier, s’est frayé un chemin sans crier gare, dans les hautes herbes du quartier KM4, avant de disparaître dans la nuit noire de Pointe-Noire.

La folle énervée, va chercher à sortir William de la voiture, pour l’aider à remettre en selle, le plaisir intense qu’elle retirait, quelques minutes plus tôt.

Dépassé par tout ce qui lui arrivait, William met en marche la voiture, et quitte les lieux de la trahison sans adresser un seul mot à sa femme. Ne pouvant rester sur place. Claire va faire autant.

Les deux voitures se suivaient. Quand soudain, Claire voit son mari, prendre volontairement, un des arbres situés le long de l’avenue de l’aéroport de Pointe-Noire.

La voiture irrécupérable, William trouve la mort après les ébats intenses avec une folle. Au nom de l’argent et des bénéfices matériels. Il laisse une veuve et trois enfants.

Poursuivons les échanges sur elvisjunior73@gmail.com


Elvis NGATSE

Commentaires

  1. Ce doit etre encore un de ces sales mbochis qui amenent leur sauvageri partout.Ces animals devraient etre bannis du sud du conogo

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