Le blog d'Elvis NGATSE

C’est en substance, la question que Lionel Ngaba, diplômé de droit de l’université de Paris 1-Panthéon Sorbonne, a posé ce midi, en s’interrogeant dans une sorte de Think Tank à la congolaise, dénommée la cour des grands, sur Facebook. Lionel Ngaba se demande : « Pourquoi, à la différence de la diaspora malienne, pour ne citer qu'elle, la nôtre n'a jamais réussi à organiser le moindre mouvement à finalité solidaire pour le pays qui soit convaincant? Les idées ne manquent pas, il semble y avoir de bonnes volontés, mais quelle est cette fatalité en vertu de laquelle, aucune dynamique de la diaspora ne franchit jamais le seuil des "bonnes intentions"? Doit-on sans cesse renvoyer la responsabilité aux dirigeants congolais? Bien évidemment, je n'ignore pas qu'il existe des initiatives ci-et là mais il me semble qu'il n'y a rien d'aussi fédérateur qu'au sein de la diaspora malienne, elles restent modestes dans leur impact, quels qu’en soient les m

Congo Brazza : champion du monde 2011 du plus long pénis L’heure du bilan est arrivée pour l’année 2011. Le Congo-Brazzaville, notre pays, s’en tire plutôt bien. Cette année, nous avons été classé, champion du monde du plus long pénis. Une position enviable, car avec une moyenne de 17, 77 cm , le pénis du congolais fait rêver les asiatiques qui s’en sortent plutôt mal, avec       9.66 cm . Ce classement est l’œuvre de Target Map, un site internet spécialisé dans la mesure de tous les pénis du monde. Ainsi, en cliquant sur le lien ci-dessous, vous pourrez vous faire une idée des pénis les mieux lotis au monde : http://www.targetmap.com/viewer.aspx?reportId=3073 Cette information a été mise en ligne en mars dernier. Depuis que la poule aux œufs d’or a été révélée à la face du monde, les congolais de Brazzaville ne cessent d’être sollicités sur les réseaux sociaux. En témoignent, les confidences que certains compatriotes nous ont faites ce matin, au cours d’une enquête qui portait s

Le ministre des affaires foncières et du domaine public, Pierre Mabiala, a mené une opération dite patrouille foncière, ce 17 décembre, le long de la route Pointe-Noire-Dolisie, premier tronçon de la nationale N°1,      Pointe-Noire/Brazzaville, comme en témoigne un reportage de Télé Congo. Cette opération a consisté, à informer les populations riveraines, de l’emprise foncière de 300 m de part et d’autre de cette route, que l’Etat s’est octroyé, afin de favoriser les investissements publics et privés, sur les 160 kms qui relient Pointe-Noire à Dolisie. Inaugurée ce 22 décembre par le Chef de l’Etat congolais, cette route marque un tournant dans  le développement du Congo, car elle répond à la nécessité de relier les deux plus grandes villes du pays, par la voie routière. La patrouille foncière, est dans son volet de sensibilisation à la bonne tenue de la route, une initiative louable. Une chose est de construire les routes, une autre est de sensibiliser les populations au sens

Le ministère des congolais de l’extérieur, devient urgent à mettre en place, d’autant plus que les autorités politiques, le Président en tête, demandent la contribution des congolais de la diaspora dans la marche du Congo vers le progrès. Depuis plusieurs mois, il existe au sein du ministère des affaires étrangères, un service des congolais de l’extérieur, qui reste méconnu des concernés. Question : ce service méconnu s’occupe t-il de quoi ? Quel est son cahier des charges ? Comment fonctionne t-il ? Qui le dirige ? En posant ces questions, nous exprimons notre surprise comme celle de plusieurs compatriotes de l’étranger, de voir qu’un service leur est destiné alors que l’interface entre le Gouvernement et les congolais de la diaspora, semble être l’œuvre de quelques associations depuis un moment. Une récente étude de l’ACTED, révèle que plus de 110.000 congolais, vivent en Europe et d’autres études montrent qu’en Afrique du sud, il y a plus de 20.000 congolais. Nous savons tous

LE CONGO BRAZZAVILLE: Congo Brazza : un statut de coopérant pour les co... : Plusieurs colloques et réunions se tiennent à Paris en France actuellement et visent notamment, à encourager les congolais de la diaspora...

Pour faire suite à l’idée que nous avons développée, sur la nécessité de donner un statut de coopérant aux congolais qui souhaitent contribuer au développement socio-économique du pays, nous vous proposons un cas pratique sur ce qui peut être fait. Nous appellerons ce projet de réflexion : CongoBrazza-compétences.com. Il s’agit de mettre en place un site vitrine, qui met en lumière, les compétences dont dispose le Congo-Brazzaville, à travers ses filles et ses fils établis à l’étranger. Ce site sera une réponse à l’idée des gouvernants de faire participer la diaspora congolaise à la construction nationale. Il mettra les compétences des congolais de la diaspora à la disposition des pouvoirs publics, de l’université Marien-Ngouabi, des Instituts d’enseignements supérieurs publics ou privés, des sociétés privées, etc. Il permettra aux publics retenus, de trouver des sommités intellectuelles d’origine congolaise, dans le cadre d’un emploi ou d’une mission à conduire au pays. Ainsi,

Plusieurs colloques et réunions se tiennent à Paris en France actuellement et visent notamment, à encourager les congolais de la diaspora, à regagner leur pays afin de mettre à la disposition de celui-ci, leurs compétences et leurs expériences acquises dans les pays développés. Il est démontré que les congolais aiment leur pays. Au-delà des critiques souvent fondées sur la gouvernance du Congo, nous voyons que leurs dénonciations de la gestion de la chose publique, participent du souci qu’ils ont, de voir les choses s’améliorer chez eux. Les freins du retour sont pluriels. Ils portent sur les situations acquises à l’étranger, les liens établis, la vie familiale et le gain des cotisations sociales qui leur garantissent une retraite paisible. Rentrer au Congo, vu l’immensité de la contribution à apporter est nécessaire, mais les réticences viennent de ce que les conditions sur place au pays, ne peuvent pas aider à sauvegarder leurs droits acquis. D’où l’urgence pour aider les gouv

Le conseil des ministres de ce mercredi 14 décembre, vient d’accorder une place de choix au social. C’est ce que nous revendiquions depuis des mois. Un pays ne peut se développer si les gouvernants n’accordent pas une place de choix au social. Notre prière a été entendue, avec l’adoption du projet de loi qui porte sur l’institution du régime de la famille et de l’enfance en difficulté en République. Le porte-parole du Gouvernement, Bienvenu Okiemy, rassure qu’à partir de ce projet de loi, les familles sans ressources ou ayant des revenus faibles et qui ont la charge d’un ou de plusieurs enfants, bénéficieront : Æ      Des prestations de l’allocation prénatale. Æ      De la prime à la naissance. Æ      De l’allocation de soutien familial. Æ      De l’allocation de rentrée scolaire. Æ      De l’allocation familiale. Le ministre Bienvenu Okiemy poursuit, en disant que cette loi, est une avancée sociale. Elle crée une branche d’insertion sociale destinée à prendre en charge des mine

C’est en tout cas ce que promettent les champions de la division et de la haine au Congo. Ceux qui veulent utiliser le peuple comme chair à canons pour accéder au pouvoir. Depuis plusieurs semaines, un mouvement dit du 17 décembre, appelle les populations congolaises, à descendre dans la rue afin de contraindre le pouvoir actuel à l’exil. A la question de savoir qui est derrière ce mouvement, il n’y a aucune réponse. C’est un mouvement anonyme. C’est assez drôle tout de même d’appeler au soulèvement populaire et de pas s’identifier. Depuis, les pyromanes de 1997, semblent prendre le relai dans un mouvement d’opposition dit Front des partis de l’opposition congolaise FPOC. Ils refusent de participer à la concertation politique qui aura lieu à Ewo du 15 au 17 décembre et demandent à leurs militants et sympathisants à manifester. Le mouvement du 17 décembre a désormais un visage. Il s’agit du FPOC. Il demande au peuple le sacrifice du sang, pour lui permettre d’accéder au pouvoir.

Il s’est tenu ce 10 décembre 2011, à Paris en France, dans la salle des conférences de l’hôtel le Méridien Etoile, un colloque sur l’amélioration du système de santé au Congo, organisé par l’association Synergies et développement de l’Afrique en sigle SDA. Le but affiché par les organisateurs de ce colloque est d’offrir une plate-forme d’échanges, d’informations et de libre expression sur le système de santé au Congo, aux différents professionnels de santé congolais évoluant  dans le pays et  à l’étranger.  L’association synergies et développement de l’Afrique, entend notamment faire participer les médecins de la diaspora congolaise, dans l’effort d’amélioration du système sanitaire du pays. Une forte participation a été remarquée et une délégation venue de Brazzaville et conduite par le Directeur Général de la Santé a pris part à ce colloque. Trois temps forts ont marqué ce colloque : 1.     Le mot d’ouverture de monsieur Williams John Bongho, Président de l’Association Synerg