A Komono, une fille rend impuissant un congolais de France !



Komono, compte parmi les 5 villes-districts de la région de la Lékoumou, avec Sibiti, Zanaga, Mayéyé et Bambamba, dans le sud-ouest de la République du Congo.

Le massif du chaillu, qui culmine à 965 m d’altitude au mont Birongou, borde cette ville-district, et lui fait profiter de la richesse de ses essences forestières, dont la plus importante est l’Okoumé.

L’Okoumé est utilisé dans la fabrication de contreplaqué, et plusieurs sociétés forestières se sont établies à Komono, en vue de son exploitation.

Comme dans toutes les villes congolaises, la principale culture de subsistance reste là-bas, le manioc, en plus d’autres cultures comme celles de l’igname, du tarot, du café, de l’huile de palme et de la banane plantain.

Judith, jeune fille à la beauté envoûtante, aux formes appétissantes, à la taille mannequin, est originaire de cette ville qui est par ailleurs connue, dans tout le pays, pour le pouvoir magique de ses guérisseurs.

Issue d’une famille nantie, Judith a eu une enfance heureuse. Un père attentif qui veillait à son éducation, et une mère qui sans cesse l’entourait de son amour.



Après un brillant parcours scolaire, au Congo et en France, sanctionné par un titre supérieur en Gestion, obtenu dans un prestigieux institut à Toulouse en France, Judith est recrutée dans la fonction publique congolaise, où elle occupe depuis, un poste enviable.

Mariée très jeune, elle a dû faire face très tôt, aux soucis de la vie, devant le comportement d’un homme porté par une infidélité maladive, qui finira par avoir raison de leur union.

Obligée de retourner à la maison familiale, avant de refaire sa vie, elle tombe par la magie des réseaux sociaux, sur un congolais de France, prénommé Corenthin.

C’est donc l’histoire de Judith et de Corenthin, qui commence par un ajout d’amis sur Facebook. La visite du profil et des photos de Judith par Corenthin, avait fini par pousser ce dernier, à lui adresser plusieurs messages tendancieux inbox.

Au départ, Judith se refusait de donner une quelconque suite aux messages de Corenthin. Elle venait à peine de digérer ses déboires conjugaux, et attendait un autre avenir conjugal dans la méditation et la prière.

Elle entendait se servir de son expérience récente, pour attendre du Ciel, un vrai signal avant de s’engager dans une nouvelle relation, qui espérait-elle, allait durer toute la vie.

Mais la ténacité virtuelle de Corenthin, et sa façon de s’y prendre avaient fini par convaincre Judith, de s’engager dans un premier temps, pour une amitié virtuelle.

S’en sont suivis plusieurs échanges, et de façon graduelle, les deux se sont engagés sur le terrain des sentiments, et en sont arrivés à la conclusion qu’une vie à deux, était possible. Malgré la distance.

Corenthin, qui sortait d’une période trouble, marquée par des déboires en tout genre, avait enfin trouvé en Judith, la fille avec qui, il devait désormais construire une véritable relation amoureuse.

Il commençait à oublier les blessures de la vie, et à son rythme, il donnait vie à cette relation naissante. Lentement, mais sûrement, il construisait ce qui devait bientôt le dépasser.

En effet, pris dans le train-train de la vie parisienne, où tout file à la vitesse grand V, entre factures à payer, charges à supporter, Corenthin sera vite submergé.

Il devait désormais assumer un amour à 6050 kilomètres (distance entre Paris et Brazzaville) sur Facebook et au téléphone. Commencé virtuellement, son amour s’y maintenait et s’y développait, et il fallait dans la journée, échanger plusieurs fois avec sa komonoise au téléphone.

Ne sachant par moment où mettre la tête, entre les impératifs professionnels et ceux liés au cœur, Judith qui venait de sortir d’un épisode ténébreux de sa vie, ne comprenait pas les appels non pris par son chou et les connexions internet épisodiques de ce dernier.

Depuis plusieurs semaines, rien ne se déroulait plus comme avant entre les deux. Souvent, les appels de Judith étaient ignorés. Non pas que Corenthin n’en voulait plus, mais les occupations de ce dernier étaient telles qu’aux heures où Judith appelait, il était soit endormi, fatigué par les longues journées parisiennes, où en réunion de travail.

Même chose au niveau internet. Corenthin ne se connectait plus comme avant, faute de temps. De 8 appels téléphoniques par jour, auxquels Judith étaient gratifiés, les appels étaient passés à 4, puis à deux et les échanges sur messenger Facebook, avaient quasiment cessé.

Redoutant le pire, et soupçonnant les mensonges de son Corenthin, Judith qui avait informé son entourage de son nouvel amour, n’a pas pu supporter ce qu’elle qualifiait de trahison.

Malgré les explications données par Corenthin, elle était persuadée que son cœur avait un autre cœur à Paris, et que par le jeu du téléphone et du chat, il s’amusait plus qu’il était engagé dans une vraie relation amoureuse.

Judith qui a été élevée dans la dignité et la grandeur, ne pouvait accepter que cette situation perdure, et que devant les siens, son espérance soit anéantie. Elle ne pouvait retrouver son homme en France, en raison des freins liés au visa, et son homme ne faisait rien pour venir la retrouver à Brazzaville.

Amoureuse de façon pleine et entière, Judith va sombrer dans le doute et le désespoir, et va donc par souci de disposer entièrement et totalement de Corenthin, décider via les tuyaux donnés par sa famille, faire recours à un féticheur de Komono.

Arrivée sur place, elle sera présentée à Koko Mbani, qui a la réputation dans toute la contrée, de résoudre les problèmes de cœur. Ce guérisseur va demander à Judith de lui fournir une carte photo de Corenthin. Quoi de plus simple, elle était téléchargeable sur Facebook.

Elle n’a pas eu du mal à le faire, ni à demander la permission de Corenthin afin de procéder à son tirage. Elle s’est rendue sur son profil et sur place, elle a procédé allégrement à son impression.

Présentée par la suite à Koko Mbani, cette photo sera traitée au fétiche dit BUISA YANDI, qui a la faculté de créer en l’homme, une dysfonction érectile, et d’avoir une érection qu’à la vue, ou à l’idée d’une fille donnée.

Le but visé était de rendre impuissant Corenthin, et en échangeant avec elle au téléphone et au net, lui faire retrouver sa virilité, et par la magie de la femme de nuit, l’inciter à regagner le pays.

En effet, le phénomène des femmes de nuit, consiste pour un homme, de faire l’amour à une femme pendant la nuit, en rêve, et de libérer sa semence comme dans la vraie vie.

A l’issue de sa descente à Komono, Judith va regagner Brazzaville, assurée que Corenthin va bientôt la retrouver, dans la ville-capitale du Congo.

Quelques semaines après la mise en route du fétiche BUISA YANDI, Corenthin qui tous les jours, à 5h du matin, avait une érection d’un garçon de 15 ans, ne bandait plus.

Lui qui s’était endurci dans le célibat, n’avait plus d’appétit visuel pour les filles aperçues dans les transports parisiens. Fait étonnant, toutes les nuits, il était comblé par une présence qui le remplissait, et lui faisait l’amour jusqu’à épuisement. Cette présence était celle de Judith.

Ses caleçons étaient tous les matins imbibés de spermatozoïdes libérés maladroitement, et honteux, il soufrait de l’image qu’il se renvoyait à         lui-même, à la vue de ses draps de lit, qui au fil du temps, avaient fini par jaunir à force de subir les assauts de sa semence.

Il n’arrivait plus à se concentrer dans son travail, et sa maison était dans un désordre indescriptible, au point où aucun ménage n’y était plus assuré, depuis que BUISA YANDI était entré dans sa vie.

Corenthin retrouvait sa réactivité virtuelle d’antan avec Judith en ligne, et ses factures de téléphone élevées, avaient fini par mettre les huissiers commis par son opérateur sur ses traces, pour tenter quelques recouvrements.

Lassé de vivre loin de sa dulcinée, Corenthin va finir par rentrer au pays, laissant derrière lui ses affaires et ses dettes, pour retrouver Judith et commencer la vie réelle avec elle au Congo.

Accueilli à l’aéroport par la komonoise, une fois chez elle à Moungali, dans le quatrième arrondissement de Brazzaville, les deux dans un langage de sourd, se sont échoués dans un grand lit, pour vivre la réalité de ce sexe qui leur manquait tant.

Corenthin sortira de cette épreuve sexuelle épanouie et heureux. Après deux mois, les deux tourtereaux vont convoler en justes noces et auront des jumeaux 14 mois plus tard : elvira et thomas.

Content après avoir reçu les présents de Judith, après ce succès inattendu, Koko Mbani, continue de sceller les cœurs, quelque part à Komono, dans le département de la Lékoumou, en République du Congo.

Poursuivons les échanges sur elvisjunior73@gmail.com



Elvis NGATSE



Commentaires

  1. En general quand on fait recours au diable, on finit toujours par le payer un jour.
    Qui dit que ces enfants vivront sans maladies, ne seront pas de bandits fieffes ou bien l`homme finira par perdre la vie...vous m`excuserez pour un tel raisonnement, loin de leur souhaiter malheur, le monde du diable n`a rien de gratuit contrairement a celui de Dieu ou le sang de l`agneau verse sur le mont Golgotha suffit pour sauver de toutes situations.
    Le Prince de B.

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    1. Amen , j'approuve vos propos , Dieu est au dessus de toutes choses.

      Sandra

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  2. Il y a un nom qui nous as été donner sur la terre comme au ciel, devan ce nom tous genoux fléchissent et toutes langues confessent qu' il es seigneur le nom de JESUS CHRIST !!

    Fabrice L

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