PCT - Un congrès pour rien.
Depuis hier à Brazzaville, la Capitale de la République du Congo, dans sa périphérie nord à Kintélé, se tient le 5ème congrès ordinaire du Parti Congolais du Travail.
D’importants moyens ont été mobilisés pour l’organisation de cette messe qui va se dérouler jusqu’à lundi dans un contexte de crise économique.
C’est là tout le problème. A la tête du pays depuis plusieurs décennies, le PCT n’a pas été capable de l’arrimer à la modernité. En raison d’une gestion opaque de la Cité décriée par tous qui a entraînée aujourd’hui le pays dans une crise multiforme aiguë.
Ce 5ème congrès arrive plutôt mal, où la débauche des moyens mis en jeu, reste une insulte pour l’ensemble du peuple qui croupit dans la misère, alors que ce parti dit congolais du travail, n’arrive toujours pas 50 ans après sa création, et plus de 44 ans passés au pouvoir, à donner du travail au peuple.
De qui se moque-t-on ?
Plusieurs centaines de congressistes sont venus non seulement des quatre coins du pays, mais aussi d’Europe et singulièrement de la France.
En réalité, chacun est venu, pour se partager ce qui reste du Congo à travers les postes politiques et administratifs. Le partage du bifteck a précipité la convocation de ce congrès.
Au nom du non-cumul des postes mis en avant, deux camps en réalité s’opposent. Celui de l’actuel Secrétaire Général Pierre Ngolo et le camp du Fils de Denis Sassou-Nguesso dit Kiki le Pétrolier ou encore le Prince ALADIN.
Contrôler le Parti c’est jouir allègrement des avantages connexes qu’il donne entre autres la possibilité de faire nommer ses parents à des hautes fonctions de l’Etat.
L’enjeu voit-on reste encore tributaire des bas intérêts. Comme si ses gens étaient nés avant l’égoïsme et n’avaient soucis que de leurs petits ventres.
Voilà pourquoi nous disons qu’il s’agit d’un non-événement car ce congrès se tient plutôt pour se partager entre amis les restes du Congo qu’ils ont coulé.
En dilapidant sans justificatif par exemple plus de 11.000 milliards de FCFA qui étaient selon eux destinés aux générations futures, ils ont montré aux yeux de tous que de parti politique, il s’agit plutôt d’une organisation criminelle.
D’importants moyens ont été mobilisés pour l’organisation de cette messe qui va se dérouler jusqu’à lundi dans un contexte de crise économique.
C’est là tout le problème. A la tête du pays depuis plusieurs décennies, le PCT n’a pas été capable de l’arrimer à la modernité. En raison d’une gestion opaque de la Cité décriée par tous qui a entraînée aujourd’hui le pays dans une crise multiforme aiguë.
De qui se moque-t-on ?
Plusieurs centaines de congressistes sont venus non seulement des quatre coins du pays, mais aussi d’Europe et singulièrement de la France.
En réalité, chacun est venu, pour se partager ce qui reste du Congo à travers les postes politiques et administratifs. Le partage du bifteck a précipité la convocation de ce congrès.
Au nom du non-cumul des postes mis en avant, deux camps en réalité s’opposent. Celui de l’actuel Secrétaire Général Pierre Ngolo et le camp du Fils de Denis Sassou-Nguesso dit Kiki le Pétrolier ou encore le Prince ALADIN.
Contrôler le Parti c’est jouir allègrement des avantages connexes qu’il donne entre autres la possibilité de faire nommer ses parents à des hautes fonctions de l’Etat.
L’enjeu voit-on reste encore tributaire des bas intérêts. Comme si ses gens étaient nés avant l’égoïsme et n’avaient soucis que de leurs petits ventres.
Voilà pourquoi nous disons qu’il s’agit d’un non-événement car ce congrès se tient plutôt pour se partager entre amis les restes du Congo qu’ils ont coulé.
En dilapidant sans justificatif par exemple plus de 11.000 milliards de FCFA qui étaient selon eux destinés aux générations futures, ils ont montré aux yeux de tous que de parti politique, il s’agit plutôt d’une organisation criminelle.
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